• L'affiche de l'equipe "Agir pour Romilly sur Andelle"

     

    ● l'affiche "Agir pour R omilly sur Andelle"

     


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  • Aujourd’hui début de la campagne des municipales

     

     Le récépissé définitif nous a été accordé

    Cliquez sur la lettre

      

    ● Début de campagne municipale 2014

     


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  •  

    Dans le cadres des élections municipales 2014

    Candidats aux élections municipales, les membres de la liste 

    "Agir pour Romilly sur Andelle ",

    que j’ai l’honneur de conduire ont le plaisir de vous convier à la

      

    Réunion Publique 

     

    Le jeudi 13 Mars 2014  à  20 h 30 

     

    Salle du C.A.R.R.É

    Place des deux Amants 

      

    Ce sera l’occasion de présenter chaque membre de la liste, d’exposer les engagements pour les 6 années à venir et de répondre aux questions des habitants de la commune.

     

    Dans l'attente du plaisir de vous retrouver. 

     

    INSCRIRE LA CONCERTATION ET LA COMMUNICATION AVEC VOUS

    EST AU CENTRE DE NOTRE ACTION.

     

    Alain ROBERT

     


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  • ● L'impartial en parle le 06..03.2014 "LE LOGEMENT"

       Logement

    Notre hebdomadaire « l’impartial » a programmé et demandé aux candidats de se poser des questions sur différents thèmes. (Les finances, le logement, l’économie et la sécurité pour les semaines à venir. 

     

    l’impartial du jeudi 06 mars 2014 


    Questions de Jean – Luc ROMET à Alain ROBERT  


    1) Que prévoyez vous comme politique de logement sur la commune pendant six ans ?

     

     Alain ROBERT : Romilly doit absorber l’arrivée de nombreux nouveaux habitants. A la suite de cette grande phase de constructions, il est nécessaire de prendre de soin des nouveaux arrivés, comme des Romillois dont l’environnement a changé et qui doivent s’adapter aux conséquences d’un village qui grossit. Pour prendre une image simple, nous souhaitons passer de la quantité à la qualité : nous ne voulons plus de déclassements supplémentaires de terrains à bâtir, et veiller à ce que le quotidien des Romillois soit simplifié, que leur accès aux bassins d’emploi, aux services, aux commerces soient meilleurs.


    2) L’offre à Romilly est-elle suffisante ?

     

    Alain ROBERT : Cette question plus précise est très intéressante, car elle mérite une approche plus détaillée et nous mène à une analyse  importante nous ramenant notamment à la question précédente. En effet, compte tenu du nombre important de constructions qui ont été réalisées durant ces dernières années, une réponse rapide pourrait conclure à la saturation des besoins ; même si de nouveaux projets à Pîtres, voire à Doudeville continuent (doucement) à trouver preneurs. 

        

         Pourtant, à y regarder de plus près, on constate deux caractéristiques importantes : ce sont très majoritairement (SILOGE mis à part) des propriétaires occupants qui ont bâti d’une part, et la typologie des logements est également très majoritairement la même d’autre part : des pavillons individuels avec 3 ou 4 chambres.

     

         Il y a en effet peu de logements locatifs, et, surtout, peu de petits logements.

    Ainsi, l’offre pour les jeunes couples qui s’installent ou pour les retraités qui souhaitent céder leur maison trop lourde à entretenir et qui recherchent des logements plus petits, de plain-pied et sans entretien sont bien trop rares.

     

         La conséquence ou le risque est donc de « perdre » les uns et les autres à Romilly, ce qui nuirait à l’équilibre social que nous souhaitons préserver.

    Donc, si l’offre paraît suffisante, c’est un trompe l’œil qu’il faudrait corriger : nous aurons à inciter les nouveaux projets (sur des terrains d’ores et déjà constructibles) vers une diversification de la typologie des logements : accession / locatif – T2 / T3 de plain-pied.



    Questions de Maurice JACOB à Alain ROBERT 


         Les lois SRU (solidarité et renouvellement urbain) du 13/12/2000 ont transformé le POS (plan d’occupation des sols) en PLU (plan local d’urbanisme). Les textes ont modifié en profondeur le droit de l'urbanisme et du logement en France.

    D’un centre ville, l’espace s’élargie en fonction d’une densité urbaine vers des zones artisanales et industrielles pour finir vers des zones agricoles et des zones naturelles  à vocation diverse. Compte tenu des règlementations de ces zones et des risques naturels : comment entendez-vous l’avenir de notre commune ?  


    Alain ROBERT : L’avenir de notre commune passe par la sauvegarde de son identité : Romilly est un village semi rural, qui profite d’un environnement naturel riche et varié, d’une situation géographique particulière entre de grands pôles urbains, et qui a une longue histoire industrielle et ouvrière. Romilly sort d’une période d’expansion, d’augmentation de population, et comprend une mixité sociale et en âge, et désormais de nombreux nouveaux romillois à accueillir. Romilly est enclavé, sur les plans géographique, administratif et politique, et il y a, d’années en années de moins en moins d’offres de travail dans la vallée. Pourtant, les grands projets « voisins » sont imminents en emporteront des modifications profondes pour notre village et notre environnement. Romilly sur Andelle peut entrer de plain-pied dans ce nouvel avenir, en profitant des locomotives que sont les pôles urbains voisins (CASE, Métropole), le contournement Est, le barreau vers l’Eure, la zone tri modale et tout le développement économique qu’ils vont générer.

     

         A Romilly, on peut conserver un environnement naturel, semi rural, une convivialité, une proximité que perdent les villes qui s’urbanisent trop vite. Pour préserver cela, nous sommes convaincus qu’il faut permettre aux Romillois d’accéder facilement aux bassins d’emploi, faciliter ces flux sortants, bien plus efficaces pour avoir un travail que de s’en remettre à la compétition des ZAC dans notre région.

     

         En fait Romilly a une chance unique, si elle ne se soumet pas à ces réflexes trop communs aux politiques, de se protéger des excès des urbanisations accélérées, et maintenir son environnement exceptionnel : ses rivières, ses terres agricoles, ses forêts, les collines, ses chemins ou encore ses champs. 


     

    http://www.limpartial-andelys.fr/

       

    Vous pouvez lire les réponse dans « L’impartial »  du 06.03.2014

    N° 7479 

    Cliquez ICI  l'impartial LE LOGEMENT

     

    Questions d’Alain ROBERT  à Jean Luc Romet :  

     

         Romilly s’enorgueillit d’avoir dépassé le seuil des 3.000 habitants, expansion que l’on doit aux maires successifs, M Jacob et vous-mêmes principalement. Cela nécessite de maintenir pour les nouveaux arrivants, comme pour les romillois qui résident dans notre village depuis longtemps, la qualité des infrastructures existantes, et leur permettre une bonne montée en charge. Ce ne sera possible que si l’on cesse de construire de nouveaux logements en grande quantité. Les terrains d’ores et déjà constructibles suffiront à une progression contenue et gérable.

    1) - Ne pensez-vous pas indispensable de s’engager auprès des Romillois à ne pas déclasser de nouveaux terrains durant le prochain mandat ? 

     

         L’emploi dans la Vallée de l’Andelle décroit régulièrement depuis plusieurs années. Pourtant, Romilly peut profiter de bassins d’emploi importants, si tant est qu’elle permette aux Romillois d’y acccéder bien plus facilement. Une constatation nous est souvent remontée lors de nos entretiens avec les Romillois : la grande majorité doit avoir recours à 2 véhicules par foyer, ce qui est un coût important, qui, si l’on ne fait rien, risque d’inciter les foyers actifs à se rapprocher des bassins d’emploi.

    2) - Comment pensez-vous répondre à cette problématique du surcoût du logement que génère la nécessité d’avoir 2 véhicules par ménage, et éviter qu’à terme, les habitants rejoignent les endroits bénéficiant de transports en commun ? 

     

    ------------------------------------------------------- 

     

    Questions d’Alain ROBERT  à Maurice Jacob :  

         Vous avez œuvré activement à l’expansion de Romilly, notamment en déployant les constructions de pavillons à Romilly, qui aujourd’hui a franchi le seuil de 3000 habitants. On constate aujourd’hui que la typologie des logements créés sont très majoritairement des pavillons avec 3 ou 4 chambres. Pas ou très peu de logements collectifs, pas ou très peu de petits logements, peu de logements locatifs. Les retraités ont souvent une maison avec chambres et terrains difficiles à entretenir, et n’ont pas d’accès à des logements de plains pieds, plus commodes à vivre. Les jeunes couples ont peu d’accès à des logements locatifs de petite surface pour commencer dans la vie…

     

    1) - Vous accordez-vous sur la nécessité de cesser les constructions en grands nombres ?

     

    2) - Partagez-vous notre constat sur la typologie existante des logements, et que comptez-vous proposer pour permettre de répondre aux besoins des retraités et jeunes familles de Romilly pour qu’ils puissent rester dans leur village ?

     

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    Vous pouvez lire les réponse dans « L’impartial »  du 06.03.2014  N° 7479 

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  • L'impartial en parle le 27.02.2014

          Notre hebdomadaire « l’impartial » a programmé et demandé aux candidats de se poser des questions sur différents thèmes. (Les finances, le logement, l’économie et la sécurité pour les semaines à venir. 

    FINANCES

    Questions de Jean – Luc ROMET à Alain ROBERT 

     

    Questions de Jean-Luc Romet : 

     

    1)             Quel est votre programme pour la fiscalité pendant six ans ?

     

    Alain ROBERT : - Le programme obéira avant tout à un engagement que nous prenons auprès des Romillois qui ont vu la pression fiscale monter fortement : baisser la fiscalité locale. Les Romillois comme tous les Français ont vu leur pouvoir d’achat chuter en partie à cause de la fiscalité. A Romilly, l’accroissement de population a généré une augmentation des recettes ; et nous projetons de contenir les dépenses pour rendre chaque euro d’impôt plus efficace.  Il sera donc nécessaire de fixer le budget annuel global avant de déterminer la répartition des dépenses. Et nous n’augmenterons aucun impôt ou taxe, et les baisserons partout ou ce sera possible, économiquement et juridiquement. Ne vivons plus au-dessus de nos moyens !

     

    2)      Quelles sont vos idées pour maîtriser les dépenses ? 

     

    Alain ROBERT : - Il faudra tout d’abord inscrire le budget annuel maximal comme un montant impossible à dépasser. Ainsi, toutes les dépenses devront être contenues et hiérarchisées pour obéir à cette contrainte forte. Il faudra arbitrer entre les différents postes de dépenses, vérifier la pertinence des sommes engagées les années précédentes.

         En outre, nous n’envisagerons aucune augmentation des dépenses de fonctionnement qu’après étude d’impact et de retour sur investissement. Pour le dire plus simplement, nous étudierons à chaque fois si de nouvelles dépenses ou leur augmentation peuvent être évitées, soit en les ajournant, soit en réorganisant les services ou autre poste de dépense. Nous ne dépenserons les impôts des Romillois qu’en fonction de leurs moyens ; et en période de crise, ils sont moindres.

         Ces engagements concerneront également les syndicats et la communauté de communes qui devront démontrer que leur existence est plus efficace et plus économique pour chaque commune et administré.  

     

    Questions de Maurice JACOB à Alain ROBERT 

     

    1)            Plutôt que de réduire son train de vie, l’Etat promulgue de nouveaux impôts sur notre revenu puis dans un second temps, demande aux communes de réduire nos dépenses, tout en nous imposant des charges supplémentaires (les rythmes scolaires). Comment ressentez-vous l’avenir ?

     

    Alain ROBERT : - Nous partageons la réflexion, à la fois de l’augmentation importante des impôts et du transfert de charges non compensé, d’autant plus regrettable dans une période de crise économique. Nous aurons la chance, l’opportunité d’agir et participer à cette tentative d’alléger ces pressions, au moins pour les Romillois. L’avenir de la fiscalité locale passera par le respect d’engagements budgétaires clairs et vérifiables, et le contrôle de ces engagements.

         A Romilly, nous prendrons les engagements budgétaires clairs et quantifiables par tous, dès le début du mandat, et nous devrons nous y conformer. L’avenir est donc au contrôle des dépenses, ce qui parfois n’implique que leur report sur l’exercice suivant : Parfois, une réfection de route ou la subvention d’un projet peuvent attendre quelques mois. L’avenir, c’est de hiérarchiser les dépenses : les essentielles avant tout, et les ordonner dans le temps : comme nous n’avons plus les moyens de faire tout et tout de suite, nous ferons tous mieux, en prenant plus de temps !

     

      2)     Alors La communauté de commune de l’Andelle veut prendre de plus en plus de compétences, la dernière étant la voirie. Une CLETC ou Commission Locale d’Évaluation de Transfert de charges a été nommée dont nous savons peu de choses, des décisions doivent être prises peu avant les élections du 23 mars qui interpelle sur sa nécessité, des maires se demandent s’ils vont perdre leur libre arbitre pour devenir de simples jardiniers, nous nous demandons qui fait quoi et, dans cette situation confuse où il est surtout question de notre argent, ma question est la suivante : La communauté de commune de l’Andelle a-t-elle les moyens de ses compétences ?

     

    Alain ROBERT : - Monsieur Jacob nous interpelle sur un vrai débat de fond : la « Machine » Communauté de Communes est lancée, depuis plusieurs années, ses compétences sont accrues, ses missions élargies, à tel point que les administrés sont bien en peine de comprendre son fonctionnement, son budget, ses décisions.

         Pour la démocratie, c’est une étape essentielle que de réussir ce passage à une gestion plus large des besoins communs des administrés d’un même secteur. Il faudra du temps, sans doute, et il faudra surtout des résultats. Or, aujourd’hui, les communes n’ont que l’impression que ces nouvelles responsabilités ne sont assumées qu’avec des impôts supplémentaires là où on attendait des économies d’échelle.

         Le principe de la CLETC va dans le bon sens, tant pour l’efficacité que pour la transparence. Notons quand même au passage que c’est un nouveau « machin », et que la simplicité qui est une vertu a disparu dans ces administrations.

         Les moyens de ses compétences ? En accord avec le diagnostic sur la situation confuse, et les attributions éclectiques des syndicats, personne ne peut l’affirmer. 

     

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     Vous pouvez lire les réponse dans « L’impartial »  du 27.02.2014 N° 7478

      

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     Questions d’Alain ROBERT  à Jean Luc Romet : 

      1) Nous avons entendu que vous êtes satisfait d’avoir contenu l’augmentation de la part communale des impôts locaux (sans parler des taxes sur abris de jardins etc…), mais les dépenses totales par habitants, de 1483 € en 2012 (dépassant de plus de 300 € la moyenne des communes de même taille) sont toujours très élevées, et ce d’autant plus dans un contexte d’augmentation généralisée de toutes les taxes et impôts en France. Trop d’impôt nuit au pouvoir d’achat.  

          L’augmentation de la population à Romilly doit permettre d’améliorer le rendement des dépenses courantes et contenir les projets dans un budget à la baisse.

           Ne pensez-vous pas indispensable de s’engager auprès des Romillois à diminuer ces taxes locales ? 

     2)      L’apport de la Communauté de Communes, en terme de mutualisation des moyens et économies pour les communes ne s’est pas fait ressentir. La CdCA a créé de nouvelles charges pour Romilly qui a pourtant conservé les mêmes effectifs.

          Comment pensez-vous peser sur la CdCA pour que les Romillois ne la voient pas comme une strate fiscale supplémentaire mais comme un moyen efficace et économique d’assumer des missions communes ? 

      Questions d’Alain ROBERT  à Maurice Jacob :  

     1)      Le montant des impôts au terme de votre mandat était déjà élevé. Vous avez initié et développé l’aménagement de nombreux lotissements et infrastructures qui ont généré l’augmentation des impôts. Il semble temps de raisonner les investissements, et de n’envisager des dépenses supplémentaires au budget communal qu’en trouvant des économies sur d’autres postes.

          Prévoyez-vous de faire une pause dans le développement urbain et les déclassements de terrain ? 

     2)      Les impôts et taxes de toutes natures confisquent du pouvoir d’achat, notamment aux Romillois, avec des conséquences dans leurs dépenses, et pour les commerces et artisans de Romilly. Si vous êtes élu,

          êtes-vous prêts à vous engager pour diminuer la pression fiscale sur les Romillois ?

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  • ● L'impartial en parle le 06..03.2014 "LE LOGEMENT"

       Logement

    Notre hebdomadaire « l’impartial » a programmé et demandé aux candidats de se poser des questions sur différents thèmes. (Les finances, le logement, l’économie et la sécurité pour les semaines à venir. 

     

    l’impartial du jeudi 06 mars 2014 


    Questions de Jean – Luc ROMET à Alain ROBERT  


    1) Que prévoyez vous comme politique de logement sur la commune pendant six ans ?

     

     Alain ROBERT : Romilly doit absorber l’arrivée de nombreux nouveaux habitants. A la suite de cette grande phase de constructions, il est nécessaire de prendre de soin des nouveaux arrivés, comme des Romillois dont l’environnement a changé et qui doivent s’adapter aux conséquences d’un village qui grossit. Pour prendre une image simple, nous souhaitons passer de la quantité à la qualité : nous ne voulons plus de déclassements supplémentaires de terrains à bâtir, et veiller à ce que le quotidien des Romillois soit simplifié, que leur accès aux bassins d’emploi, aux services, aux commerces soient meilleurs.


    2) L’offre à Romilly est-elle suffisante ?

     

    Alain ROBERT : Cette question plus précise est très intéressante, car elle mérite une approche plus détaillée et nous mène à une analyse  importante nous ramenant notamment à la question précédente. En effet, compte tenu du nombre important de constructions qui ont été réalisées durant ces dernières années, une réponse rapide pourrait conclure à la saturation des besoins ; même si de nouveaux projets à Pîtres, voire à Doudeville continuent (doucement) à trouver preneurs. 

        

         Pourtant, à y regarder de plus près, on constate deux caractéristiques importantes : ce sont très majoritairement (SILOGE mis à part) des propriétaires occupants qui ont bâti d’une part, et la typologie des logements est également très majoritairement la même d’autre part : des pavillons individuels avec 3 ou 4 chambres.

     

         Il y a en effet peu de logements locatifs, et, surtout, peu de petits logements.

    Ainsi, l’offre pour les jeunes couples qui s’installent ou pour les retraités qui souhaitent céder leur maison trop lourde à entretenir et qui recherchent des logements plus petits, de plain-pied et sans entretien sont bien trop rares.

     

         La conséquence ou le risque est donc de « perdre » les uns et les autres à Romilly, ce qui nuirait à l’équilibre social que nous souhaitons préserver.

    Donc, si l’offre paraît suffisante, c’est un trompe l’œil qu’il faudrait corriger : nous aurons à inciter les nouveaux projets (sur des terrains d’ores et déjà constructibles) vers une diversification de la typologie des logements : accession / locatif – T2 / T3 de plain-pied.



    Questions de Maurice JACOB à Alain ROBERT 


         Les lois SRU (solidarité et renouvellement urbain) du 13/12/2000 ont transformé le POS (plan d’occupation des sols) en PLU (plan local d’urbanisme). Les textes ont modifié en profondeur le droit de l'urbanisme et du logement en France.

    D’un centre ville, l’espace s’élargie en fonction d’une densité urbaine vers des zones artisanales et industrielles pour finir vers des zones agricoles et des zones naturelles  à vocation diverse. Compte tenu des règlementations de ces zones et des risques naturels : comment entendez-vous l’avenir de notre commune ?  


    Alain ROBERT : L’avenir de notre commune passe par la sauvegarde de son identité : Romilly est un village semi rural, qui profite d’un environnement naturel riche et varié, d’une situation géographique particulière entre de grands pôles urbains, et qui a une longue histoire industrielle et ouvrière. Romilly sort d’une période d’expansion, d’augmentation de population, et comprend une mixité sociale et en âge, et désormais de nombreux nouveaux romillois à accueillir. Romilly est enclavé, sur les plans géographique, administratif et politique, et il y a, d’années en années de moins en moins d’offres de travail dans la vallée. Pourtant, les grands projets « voisins » sont imminents en emporteront des modifications profondes pour notre village et notre environnement. Romilly sur Andelle peut entrer de plain-pied dans ce nouvel avenir, en profitant des locomotives que sont les pôles urbains voisins (CASE, Métropole), le contournement Est, le barreau vers l’Eure, la zone tri modale et tout le développement économique qu’ils vont générer.

     

         A Romilly, on peut conserver un environnement naturel, semi rural, une convivialité, une proximité que perdent les villes qui s’urbanisent trop vite. Pour préserver cela, nous sommes convaincus qu’il faut permettre aux Romillois d’accéder facilement aux bassins d’emploi, faciliter ces flux sortants, bien plus efficaces pour avoir un travail que de s’en remettre à la compétition des ZAC dans notre région.

     

         En fait Romilly a une chance unique, si elle ne se soumet pas à ces réflexes trop communs aux politiques, de se protéger des excès des urbanisations accélérées, et maintenir son environnement exceptionnel : ses rivières, ses terres agricoles, ses forêts, les collines, ses chemins ou encore ses champs. 


     

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    N° 7479 

      

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    Questions d’Alain ROBERT  à Jean Luc Romet :  

     

         Romilly s’enorgueillit d’avoir dépassé le seuil des 3.000 habitants, expansion que l’on doit aux maires successifs, M Jacob et vous-mêmes principalement. Cela nécessite de maintenir pour les nouveaux arrivants, comme pour les romillois qui résident dans notre village depuis longtemps, la qualité des infrastructures existantes, et leur permettre une bonne montée en charge. Ce ne sera possible que si l’on cesse de construire de nouveaux logements en grande quantité. Les terrains d’ores et déjà constructibles suffiront à une progression contenue et gérable.

    1) - Ne pensez-vous pas indispensable de s’engager auprès des Romillois à ne pas déclasser de nouveaux terrains durant le prochain mandat ? 

     

         L’emploi dans la Vallée de l’Andelle décroit régulièrement depuis plusieurs années. Pourtant, Romilly peut profiter de bassins d’emploi importants, si tant est qu’elle permette aux Romillois d’y acccéder bien plus facilement. Une constatation nous est souvent remontée lors de nos entretiens avec les Romillois : la grande majorité doit avoir recours à 2 véhicules par foyer, ce qui est un coût important, qui, si l’on ne fait rien, risque d’inciter les foyers actifs à se rapprocher des bassins d’emploi.

    2) - Comment pensez-vous répondre à cette problématique du surcoût du logement que génère la nécessité d’avoir 2 véhicules par ménage, et éviter qu’à terme, les habitants rejoignent les endroits bénéficiant de transports en commun ? 

     

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    Questions d’Alain ROBERT  à Maurice Jacob :  

         Vous avez œuvré activement à l’expansion de Romilly, notamment en déployant les constructions de pavillons à Romilly, qui aujourd’hui a franchi le seuil de 3000 habitants. On constate aujourd’hui que la typologie des logements créés sont très majoritairement des pavillons avec 3 ou 4 chambres. Pas ou très peu de logements collectifs, pas ou très peu de petits logements, peu de logements locatifs. Les retraités ont souvent une maison avec chambres et terrains difficiles à entretenir, et n’ont pas d’accès à des logements de plains pieds, plus commodes à vivre. Les jeunes couples ont peu d’accès à des logements locatifs de petite surface pour commencer dans la vie…

     

    1) - Vous accordez-vous sur la nécessité de cesser les constructions en grands nombres ?

     

    2) - Partagez-vous notre constat sur la typologie existante des logements, et que comptez-vous proposer pour permettre de répondre aux besoins des retraités et jeunes familles de Romilly pour qu’ils puissent rester dans leur village ?

     

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